Un recueil de Citations de Cinquante nuances de Grey ( EL James)
"Je ne crois pas à la
chance ou au hasard, mademoiselle Steele. Il s’agit réellement de choisir les
bons collaborateurs et de les diriger efficacement. Je crois que c’est Harvey
Firestone qui a dit : « La croissance et le développement des
gens est la vocation la plus élevée du leadership »."
"Je lance la cuisson
du bacon. Amy Studt chante doucement dans mes oreilles une chanson sur les
inadaptés qui m’a toujours touchée, parce que moi-même, j’en suis une. Je n’ai
jamais été à ma place nulle part et maintenant…le Roi des Inadaptés en personne
m’a fait une proposition indécente. Pourquoi est –il tel qu’il est ?
Nature ou culture ? C’est tellement étranger à tout ce que j’ai connu jusqu’à
maintenant."
"J’ouvre les yeux et
m’étirant : par ce magnifique matin de mai, le panorama spectaculaire de
Seattle s’étend à mes pieds. Christian Grey dort à points fermés. - là aussi,
quel spectacle !- ce qui me procure une occasion inespérée de l’observer.
Il fait plus jeune quand il est détendu. Ses lèvres ourlées sont légèrement
entrouvertes et ses cheveux brillants sont délicieusement ébouriffés. Comment
peut-on être aussi beau sans que ce soit illégal ? Je songe à sa chambre à
l’étage : peut être est-ce illégal, en effet."
"C’est comme ça que
vous vous y prenez pour impressionner les femmes ? « Venez faire un
tour dans mon Hélicoptère » ?"
"Je ne sais plus où
j’en suis. La relation que me propose Christian ressemble plutôt à une offre
d’emploi, avec des horaires, une description de poste, et une procédure de
règlement des griefs assez radicale. Ce n’est pas ainsi que j’envisageais ma
première histoire d’amour. Mais les histoires d’amour, ça n’est pas le truc de
Christian, il a été assez clair là-dessus."
"Mon cuir chevelu
picote. Lui a-t-il parlé de moi ? Qu’est-ce que je n’aurais pas donné pour
être une mouche sur le mur afin d’épier leur conversation. J’aurais pu atterrir
dans sa soupe ou son verre de vin, et elle se serait étouffée en m’avalant."
"-Ma chérie, tu sais
ce qu’on dit : il faut embrasser beaucoup de grenouilles avant de trouver
son prince.
Je lui adresse un
petit sourire doux-amer.
-Je crois que j’ai
embrassé un prince, maman. J’espère simplement qu’il ne va pas de transformer
en grenouille."
"Comment pourrait-il
m’aimer alors qu’il ne s’aime pas lui-même ? D’après ce que j’ai compris,
quand il était plus jeune, il se méprisait à tel point que son amour à elle
était la seule forme d’amour qu’il jugeait « acceptable ». Puni,
fouetté, battu…parce qu’il n’avait pas l’impression de mériter d’être aimé."
"Je me regarde dans
le miroir. Un spectre blafard aux paupières bouffies me dévisage. Je relève mes
cheveux en chignon. Ma conscience hoche la tête. Elle sait qu’elle ne doit pas
se moquer de moi en ce moment. Je n’arrive pas à croire que mon univers vient
de s’effondrer en ne laissant qu’un tas de cendres stériles ; que tous mes
rêves et mes espoirs sont anéantis."
"Je me laisse tomber
sur mon lit sans me déchausser, et je hurle. La douleur est
indescriptible…physique, mentale…métaphysique…elle s’infiltre jusqu’à la moelle
de mes os. La douleur. Voilà ce que c’est la douleur. Et je me la suis infligée
à moi-même."
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