samedi 14 mars 2015

Un recueil de Citations de Cinquante nuances de Grey ( EL James)

"Je ne crois pas à la chance ou au hasard, mademoiselle Steele. Il s’agit réellement de choisir les bons collaborateurs et de les diriger efficacement. Je crois que c’est Harvey Firestone qui a dit : « La croissance et le développement des gens est la vocation la plus élevée du leadership »."

"Je lance la cuisson du bacon. Amy Studt chante doucement dans mes oreilles une chanson sur les inadaptés qui m’a toujours touchée, parce que moi-même, j’en suis une. Je n’ai jamais été à ma place nulle part et maintenant…le Roi des Inadaptés en personne m’a fait une proposition indécente. Pourquoi est –il tel qu’il est ? Nature ou culture ? C’est tellement étranger à tout ce que j’ai connu jusqu’à maintenant."

"J’ouvre les yeux et m’étirant : par ce magnifique matin de mai, le panorama spectaculaire de Seattle s’étend à mes pieds. Christian Grey dort à points fermés. - là aussi, quel spectacle !- ce qui me procure une occasion inespérée de l’observer. Il fait plus jeune quand il est détendu. Ses lèvres ourlées sont légèrement entrouvertes et ses cheveux brillants sont délicieusement ébouriffés. Comment peut-on être aussi beau sans que ce soit illégal ? Je songe à sa chambre à l’étage : peut être est-ce illégal, en effet."

"C’est comme ça que vous vous y prenez pour impressionner les femmes ? « Venez faire un tour dans mon Hélicoptère » ?"

"Nous approchons du bout du pont, et la route est à nouveau baignée par la lueur des lampadaires, de sorte que son visage est tantôt éclairé, tantôt plongé dans l’obscurité. Cet homme, que je voyais jadis en preux chevalier blanc -ou en chevalier noir, selon lui-, n’est pas un héros de roman, mais un être profondément perturbé qui m’entraîne vers une voie obscure. Ne pourrais-je pas, moi, le guider vers la lumière ?"

"Je ne sais plus où j’en suis. La relation que me propose Christian ressemble plutôt à une offre d’emploi, avec des horaires, une description de poste, et une procédure de règlement des griefs assez radicale. Ce n’est pas ainsi que j’envisageais ma première histoire d’amour. Mais les histoires d’amour, ça n’est pas le truc de Christian, il a été assez clair là-dessus."

"Mon cuir chevelu picote. Lui a-t-il parlé de moi ? Qu’est-ce que je n’aurais pas donné pour être une mouche sur le mur afin d’épier leur conversation. J’aurais pu atterrir dans sa soupe ou son verre de vin, et elle se serait étouffée en m’avalant."

"-Ma chérie, tu sais ce qu’on dit : il faut embrasser beaucoup de grenouilles avant de trouver son prince.
Je lui adresse un petit sourire doux-amer.
-Je crois que j’ai embrassé un prince, maman. J’espère simplement qu’il ne va pas de transformer en grenouille."

"Comment pourrait-il m’aimer alors qu’il ne s’aime pas lui-même ? D’après ce que j’ai compris, quand il était plus jeune, il se méprisait à tel point que son amour à elle était la seule forme d’amour qu’il jugeait « acceptable ». Puni, fouetté, battu…parce qu’il n’avait pas l’impression de mériter d’être aimé."

"Je me regarde dans le miroir. Un spectre blafard aux paupières bouffies me dévisage. Je relève mes cheveux en chignon. Ma conscience hoche la tête. Elle sait qu’elle ne doit pas se moquer de moi en ce moment. Je n’arrive pas à croire que mon univers vient de s’effondrer en ne laissant qu’un tas de cendres stériles ; que tous mes rêves et mes espoirs sont anéantis."


"Je me laisse tomber sur mon lit sans me déchausser, et je hurle. La douleur est indescriptible…physique, mentale…métaphysique…elle s’infiltre jusqu’à la moelle de mes os. La douleur. Voilà ce que c’est la douleur. Et je me la suis infligée à moi-même."

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